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Sommaire
La Maison Blanche a ordonné à la NASA d’établir un nouveau standard de temps pour la Lune, connu sous le nom de Temps Lunaire Coordonné (TLC), afin de faciliter les futures missions lunaires et d’établir une référence temporelle officielle. Cette démarche est primordiale pour une exploration spatiale sûre et précise, car les différentes forces gravitationnelles et les variations de mouvement influent sur le temps à la surface de la Lune par rapport à la Terre.
Le nouveau standard de temps pour la Lune vise à synchroniser la technologie, les missions, la navigation et les communications entre les différentes agences spatiales du monde, dont celles des États-Unis, de la Chine, du Japon, de l’Inde et de la Russie. Le TLC doit être coordonné avec le Temps Universel Coordonné (TUC), le standard de mesure du temps pour la Terre, pour permettre une navigation et des travaux scientifiques précis non seulement sur la Lune, mais aussi dans les environnements spatiaux au-delà du système Terre-Lune.
Le programme Artemis de la NASA, qui prévoit d’envoyer des missions habitées sur la Lune d’ici 2026, fait partie d’une plus vaste course à l’espace du 21e siècle impliquant divers pays et entreprises privées avec des ambitions lunaires pour la recherche, l’exploration, et éventuellement la construction de bases pour une résidence permanente.
La Lune pourrait servir d’étape cruciale sur le chemin de Mars, permettant de tester des technologies, de fournir des besoins en carburant et en fournitures, et de favoriser l’exploration scientifique et l’exploitation des ressources, ce qui suscite l’intérêt de divers pays et entités privées.
Les théories de la relativité d’Einstein interviennent pour comprendre les différences de temps entre la Terre et la Lune en raison des variations de vitesse et de gravité. La coopération internationale, notamment avec les signataires des accords Artemis, est nécessaire pour garantir l’interopérabilité et la réussite des missions spatiales.
Pour maintenir sa résilience en cas de perte de contact avec la Terre tout en assurant une évolutivité pour les missions au-delà du système Terre-Lune, le TLC aura pour objectif de maintenir son potentiel. Les États-Unis, la Chine et d’autres pays ont des projets de missions habitées sur la Lune d’ici le début des années 2030 dans le cadre de l’intérêt croissant pour l’exploration lunaire et l’établissement d’une présence humaine au-delà de la Terre.